Respirer par la bouche plutôt que par le nez est une habitude qu'on acquiert inconsciemment et qui s'installe généralement depuis l'enfance. Si c'est votre cas, il peut être important de corriger ce comportement à cause de ses retombées, en particulier au niveau des dents et de la sphère oro-faciale. Votre dentiste à Colombes vous expose les risques bucco-dentaires liés à la respiration buccale:
Sécheresse buccale et ses conséquences
Respirer par la bouche la nuit nécessite de garder la bouche ouverte, ce qui dessèche les muqueuses et les surfaces dentaires. Ceci favorise la prolifération des microbes, augmentant le risque de carie dentaire et de maladie des gencives (parodontite).
Action sur les muscles et des articulations des mâchoires
Lorsque nous dormons avec la bouche ouverte (ce qui représente environ un tiers de notre temps!), les muscles abaisseurs de la mâchoire inférieure tendent à se raccourcir. Pendant la journée, pour maintenir la bouche fermée, les muscles de la fermeture buccale doivent alors compenser en luttant contre ces muscles abaisseurs, ce qui augmente leur charge de travail. Cette activité musculaire excessive exerce une pression supplémentaire sur les articulations temporo-mandibulaires. Ceci peut se manifester par différents symptômes: maux de tête, bruits articulaires, douleurs, etc, et contribuer à l'apparition d'une dysfonction temporo-mandibulaire (DTM).
C'est pourquoi, en présence de d'une ventilation orale, il est important de consulter votre dentiste à Colombes afin qu'il pratique un bilan bucco-dentaire et occlusal afin de prévenir les complications dentaires et musculo-articulaires. Il existe des moyens thérapeutiques pour retrouver une respiration nasale physiologique.